RECLUSION THE HUMAN O N E S I N A M E D I A S Y S T E M, 2008

 

 

 

RECLUSION THE HUMAN O N E S  I N  A  M E D I A  S Y S T E M,  2008

« E n f e r m e m e n t  d ‘ h u m a i n s  d a n s  u n  s y s t è m e  m é d i a t i q u e » , 2 0 0 8

Cette installation vidéo informatique est un dispositif mettant en scène la dépendance établi entre spectateurs et flux médiatiques.

 

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Les réseaux  » turbinent à bloc », Nous voyons en moyenne 3000 annonces publicitaires par jour, nous sommes assaillis, bombardés d’images, maltraitance de nos consciences? La notion du présent, de l’espace géographique s’en trouve réellement modifié (cf: Paul Virillo) et la conscience mise à rude épreuve, pourtant nous devons adapter nos comportements.

Nous n’en sommes toujours pas moins assis devant nos écrans, pour travailler, pour gérer, l’administratif, les rapport sociaux, une partie des loisirs, et même parfois nos errances; d’un réseau à l’autre, d’un désir à un autre, sans pour autant être réellement comblé.

Cette installation aborde, le sujet de la lecture et de la distanciation des images, le spectateur fait l’expérience et regarde « celui qui est emprisonné ».

 

Scénographie:

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L’installation sculpturale représente une machine à images, constituée de cartes électroniques, d’écrans mutants, de matériels informatiques et d’un écran géant cylindrique, l’ensemble est maintenu hors de portée à l’aide de grilles métalliques.


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Les écrans  diffusent  une suite de mini films réalisés sur la base du désir.
Chaque mini film répond à la phrase « parfois j’ai envie de… »

 

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La scénographie baigne dans une ambiance « électronique cyber ». Six personnes sont enfermées dans le dispositif autour de l’écran cylindrique, le regard collé aux images, pendant que les spectateurs sont à l’extérieur de la cloture grillagée, hors de cette « prison » ils voient des désirs mis en image, désirs de consommer, désirs de posséder, désir de ressembler à…

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L’ensemble s’articule autour d’une résidence et d’un atelier ouvert au public.
Chacun peut y réaliser un mini film mettant en scène un de ses désirs.
Ces mini films sont ensuite diffusés en continu sur chacun des écrans de l’installation, et provoque ainsi une litanie obsédante.

 

Vidéo les désirs de chacun:

 

 

vidéo de l’installation: